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Le système d’assurance qui couvre les maladies sur tout le territoire Suisse respecte les conditions de la Loi LAMal de 1996. Cette loi oblige tous les résidents suisses à souscrire à une assurance maladie avec un minimum de garantie exigé. Mais comme de nombreux établissements d’assurance peuvent proposer ce service, voici quelques points qu’il est nécessaire de connaitre avant de souscrire à une assurance maladie en Suisse.

La considération de la LAMal

La Loi LAMal exige que tous les résidents, qu’ils soient Suisses ou des personnes travaillant seulement sous contrat sur le territoire Suisse, à souscrire à une assurance maladie. Par contre cette loi n’oblige pas le résident à souscrire à toutes les garanties proposées par l’assureur. L’assuré peut choisir les bases obligatoires qui vont l’indemniser en cas d’accidents ou de maladies. L’hospitalisation peut aussi être prise en charge par l’assurance tout comme la maternité. Cependant, on ne peut pas obliger le résident à souscrire à une garantie spécifique comme se faire vacciner à domicile ou à être couvert s’il est en voyage. Il faut aussi noter que seulement 60 établissements d’assurance sont agréés par les autorités suisses et peuvent garantir la qualité des assurances respectueuses de la loi LAMal. Parmi les meilleures assurances en Suisse, on compte l’assurance maladie Assura. Mais il y a aussi le Groupe Mutuel ou encore la caisse maladie pour paysans Agrisano.

Les autres mentions qu’il faut connaitre

En Suisse, dès sa naissance, un enfant doit être assigné à un contrat d’assurance maladie. Cependant, il revient aux parents de choisir l’assureur idéal pour son enfant. Malgré tout, quel que soit l’établissement choisi, il faut noter que les offres sont sensiblement les mêmes étant donné que toutes les sociétés d’assurance sur le territoire se plient à la loi LAMal. Le prix des cotisations peut toutefois être différent d’un établissement à un autre. Cela va dépendre de l’âge et de la situation sanitaire de l’assuré. Ainsi, la cotisation d’un nouveau-né ne sera pas la même que celle d’un adulte ou d’un senior. Pour un enfant, le prix de cette cotisation sera moins élevé. Il faut néanmoins préciser que l’assuré sera mis à contribution en cas de souci. Cela fera appel à une franchise d’environ 300 euros par an majoré de 10 % des frais non couverts si ces frais dépassent la valeur de la franchise.

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